Le terme danses de salon est le terme utilisé, après 1950, pour différencier les danses existantes du rock'n'roll naissant. Ce sont les danses pratiquées dans les salons, bals, soirées, guinguettes et thés dansants.
Elles se regroupaient à l'époque sous deux appellations : « danses anciennes et classiques » et « danses modernes ». Elles pouvaient être collectives, se danser à deux ou en solo.
Aujourd'hui, pratiquée par de très nombreux amateurs, elle fait également l'objet de nombreux concours souvent professionnels, particulièrement pour la variante très compétitive de la danse sportive.
La catégorie des danses en ligne comprend toutes les danses de groupes pratiquées individuellement, soit l'un derrière l'autre, soit côte à côte, soit encore en deux lignes se faisant face. Les danses en lignes figurent tant parmi les danses traditionnelles que parmi les danses de société ou les danses rock. Au départ, cette disposition en ligne permettait d'apprendre plus facilement les danses.
Les danses en ligne les plus connues sont le shim sham des années 1930 ou le madison des années 1960. Le Big Apple (en) sera très à la mode aux États-Unis vers 1936. Les danses country appartiennent également à ce style. La macarena ou le kuduro en sont des exemples plus récents.
La danse sociale en ligne est une pratique courante au Québec depuis les années 1960, qui consiste à danser sur des rythmes de rock, rumba, charleston, mambo, valse, tango, slow, cha-cha-cha, reggae, foxtrot, disco, samba, sur des chorégraphies précises, en ligne et sans partenaire.
Ces danses permettent de maintenir une meilleure distanciation physique que les danses en contact.